Une méthode éprouvée
et sur-mesure
Une méthode sur mesure
La feuille de route
La méthode d’Emmanuel Ducluzeau repose sur l’adaptation.
De nombreux outils peuvent être mis en œuvre pour aider les dirigeants à performer dans la discipline de la prise de parole. Encore faut-il mobiliser les bons afin de faire les meilleurs choix pour répondre aux objectifs qui seront fixés dès le début de mission.
Il convient donc en premier lieu de choisir les bons outils et de dimensionner la feuille de route « à 4 mains » entre vous et votre coach.
L’avant
Le terme de préparateur, préféré par Emmanuel Ducluzeau à celui de coach prend tout son sens dès le début de mission. La préparation est en effet la pierre angulaire de toute mission de prise de parole, qu’elle se fasse dans l’urgence ou avec un délai plus long. Elle ne concerne pas que les aspects techniques mais aussi les questions de fonds qui devront être abordées afin de définir les priorités et des objectifs professionnels précis.
L’accompagnement
L’accompagnement peut prendre plusieurs formes qu’il s’agisse d’aide à la décision, d’ateliers liés à la rédaction, d’ateliers pratiques de techniques de prise de parole, de séances plus théoriques, jusqu’à l’accompagnement incognito (et selon la demande) sur le lieu de prise de parole.
Les lieux
Les séances de travail peuvent se dérouler dans plusieurs lieux selon les préconisations du coach et selon la volonté du dirigeant, ses priorités et ses exigences (dans les locaux d’Emmanuel Ducluzeau, dans l’entreprise, ou dans tout autre lieu répondant au besoin du thème de travail).
Le jour J
La plupart des accompagnés souhaitent la présence de leur préparateur le jour de la prise de parole car cette présence est nécessaire au «feedback post performance». Il est aussi très répandu que cette présence soit totalement anonyme voire invisible vis-à-vis de l’assemblée.
L’après
Les techniques de travail
La préparation
La prise de parole en public, c’est un moment court sur lequel on ne pourra plus revenir. Il est donc essentiel de le préparer avec tout le soin et la précision nécessaires afin qu’il se déroule aussi bien qu’on l’a imaginé dans nos projections. Plus précise et méthodique est la préparation, plus aisée sera la prestation.
Mais la qualité d’une prise de parole ne tient pas qu’à la préparation technique car la forme qu’elle prendra n’est que la touche finale d’un long travail de fond. Pour donner du sens à une intervention, un travail d’écriture méticuleux est nécessaire afin que des objectifs précis irriguent le propos et que des idées intelligibles soient clairement formulées.
On pourrait croire que ce travail de préparation à la prise de parole vise à produire un discours complexe et une prestation flamboyante.
Pourtant c’est tout l’inverse : la préparation vise à simplifier, optimiser, pour rendre le discours intelligible, pour que les mots ne prennent pas le dessus sur l’orateur et pour laisser un peu de place à l’interprétation et à l’émotion.
« Je vous écris une longue lettre parce que je n’ai pas le temps de vous en écrire une courte ». Cette citation de Blaise Pascal rappelle à quel point dire les choses simplement, sans détour, et avec les mots justes, demande du temps de préparation.
La technique
La préparation à la prise de parole en public passe par l’apprentissage de certains fondamentaux. Même si ce n’est pas la technique qui fait la valeur d’un orateur, la maîtrise de cette technique est libératrice et permet de laisser place à l’expression, au naturel, à l’émotion… Car si un virtuose du piano peut s’aventurer dans des envolées improvisées, c’est d’abord parce qu’il n’a plus à se préoccuper de la technique qui est profondément ancrée en lui et qui devient un automatisme.
Même si faire de vous un virtuose de la prise de parole n’est pas une fin en soi, la libération qu’apporte la maîtrise de ces quelques fondamentaux relativement faciles à acquérir avec un peu de travail et de volonté, vous permettra de gagner en aisance, en authenticité et en sincérité pour libérer l’orateur qui sommeille en vous.
Un apprentissage méthodique au travers d’exercices pratiques ponctuera la mission et s’accompagnera de points réguliers jusqu’à l’échéance fixée par le calendrier.
La respiration
Croire que le stress est la source de tous les problèmes rencontrés par ceux qui cherchent à s’améliorer dans l’exercice de la prise de parole en public est une erreur qui les détourne du vrai problème. Et malheureusement, cette croyance est relativement répandue. Pourtant, la plupart des défauts identifiés par les orateurs comme liés aux stress (hésitation, mots parasites, tics verbaux, trous de mémoire, débit de parole trop élevé, transpiration excessive, rougeur…) sont en réalité la résultante d’un autre problème qui, pour le coup, est généré par le stress. Ce problème, c’est une respiration mal contrôlée.
L’expression « se mettre la pression » prend alors tout son sens car cette pression peut agir de manière négative sur la respiration si l’on n’est pas conscient de ses effets néfastes.
Tout part de la respiration, et en apprenant à la contrôler, notre conscience s’interpose entre la pression et les effets négatifs. Car le stress, ou « la pression » si on en circonscrit les effets pervers, sera toujours plus ou moins présent mais pourra devenir une source de stimulation plutôt qu’une source d’appréhension.
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